Forçage Génétique
Soumis par Dru Oja Jay le
Soumis par Dru Oja Jay le
Soumis par Dru Oja Jay le
8 juillet 2019, Montréal
Dans un rapport publié aujourd'hui, le Groupe ETC révèle de graves partis pris et conflits d'intérêts chez les membres du groupe d'experts réuni par la très influente UICN (Union internationale pour la conservation de la nature), le plus grand organisme international à convoquer les mouvements de conservation.
Soumis par Dru Oja Jay le
Résumé exécutif
Soumis par Dru Oja Jay le
Soumis par Dru Oja Jay le
Soumis par Trudi Zundel le
Dans une décision qui fait date, la Convention sur la Diversité Biologique appelle les gouvernements à procéder à des évaluations strictes des risques et à obtenir le consentement des populations locales avant le lâché éventuel de la technologie «exterminatrice».
Les Amis de la Terre International et ETC groupe
Soumis par Dru Oja Jay le
L’histoire se répète
Il y a maintenant vingt ans, le Groupe ETC a découvert un brevet étasunien sur les technologies surnommées depuis lors « technologies terminator » — des semences génétiquement modifiées qui font que les agriculteurs ne peuvent ni conserver ni assurer la reproduction des semences. La société civile et les mouvements paysans ont protesté contre le fait que ces semences-suicide menaçaient des pratiques de conservation des semences aussi anciennes que l’agriculture.
Soumis par Dru Oja Jay le
Le forçage génétique est une nouvelle technologie qui permet de modi er génétiquement des populations entières. Tous les êtres vivants sont concernés, insectes, plantes, animaux.... Cette technologie invasive constitue une tentative délibérée pour créer de nouvelles formes de pollution génétique : extinction d’espèces entières ; mise en danger des formes d’agriculture et de nourriture durables et équitables.
Soumis par Dru Oja Jay le
En tant que représentant.es d’un large éventail d’organisations de la société civile africaine, nous ne nous sentons pas bien représenté.es par les délégations du Nigéria et de l’Afrique du Sud, qui parlent au nom du Groupe Africain, proclamant représenter la population africaine sur la question de la biologie de synthèse (synbio) et des organismes issus du forçage génétique (GDO).
Soumis par Dru Oja Jay le
Soumis par Veronica Villa le
Pour diffusion immédiate
5 Octobre 2018
Document collectif de ETC Group, Indigenous Environmental Network, Friends of the Earth International, La Via Campesina, Climate Justice Alliance et BiofuelWatch.
Soumis par Veronica Villa le
Soumis par Dru Oja Jay le
Soumis par Joana Chelo le
Soumis par Trudi Zundel le
Soumis par Trudi Zundel le
Yo ho ho! Who are the most gruesome and despicable biopirates plundering genetic resources in your country? Which corporate crooks are looting indigenous knowledge in your communities? Have any governments failed to ward off marauders, enacted bogus policies, or plotted against their own people? Which gene-jacking genome editors are carrying out dastardly digital theft via your local genome database?
Soumis par Trudi Zundel le
Soumis par Trudi Zundel le
What’s the role of synthetic biology in our food system and how does it relate to “climate-smart” agriculture? What are the costs and risks?
Available to watch at http://www.synbiowatch.org/2016/07/outsmarting-nature-webinar/
Soumis par Dru Oja Jay le
« Les voies biosynthétiques ont le potentiel de remplacer complètement n’importe quelle source naturelle. »
--Kalib Kersh, analyste de l’industrie, cité dans Chemical and Engineering News, 16 juillet 2012
Soumis par Joëlle Deschambault le
La face cachée des systèmes alimentaires. Il y a environ cinquante ans, lors du premier Sommet mondial de l’alimentation qui s’est tenu en juin 1963, les Nations unies se sont fait dire que « Nous avons les moyens et la capacité d’éradiquer la faim et la pauvreté de la surface de la Terre de notre vivant – tout ce qu’il nous manque, c’est la volonté de le faire. » Depuis lors, cette phrase est devenue le mantra de tous les sommets de l’alimentation. Les gouvernements n’ont toutefois qu’une connaissance très partielle en ce qui concerne l’approvisionnement et la consommation d’aliments. Cette réalité est d’ailleurs apparue horriblement évidente en 2007, alors que les gouvernements n’ont pas été en mesure de reconnaître qu’une crise alimentaire mondiale se dessinait à l’horizon.