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ETC Group attends Cochabamba Climate Change Conference: Presses for a Ban on Geoengineering

Media Advisory

Cochabamba, Bolivia - To advance meaningful international action on confronting the climate crisis, the Bolivian government is hosting a Peoples’ Conference on Climate Change and The Rights of Mother Earth featuring close to 10,000 attendees. These include government representatives, social movements, non-governmental organizations and Indigenous Peoples from around the world.

¡Apoye con su firma! Carta abierta en contra de la conferencia sobre geoingeniería en Asilomar

Asunto: Conferencia Internacional Asilomar sobre Tecnologías de Intervención Climática

Como organizaciones de la sociedad civil y movimientos que trabajan para encontrar soluciones constructivas al cambio climático, queremos expresar nuestra profunda preocupación en torno a la próxima reunión sobre geoingeniería, organizada por intereses privados, en Asilomar, California.

Lettre ouverte au Climate Response Fund et au Comité organisateur scientifique

Objet : Conférence internationale d’Asilomar sur les technologies de modification du climat 22-26 mars 2010

En tant qu’organismes de la société civile et que mouvements sociaux cherchant à trouver des solutions constructives pour contrer les changements climatiques, nous désirons exprimer notre profonde inquiétude face à la rencontre organisée de façon privée sur la géoingénierie qui se déroulera prochainement à Asilomar, Californie. Son objectif déclaré, qui est d’« élaborer un ensemble de directives volontaires ou de meilleures pratiques permettant de procéder à des recherches et à des essais, de la façon la moins préjudiciable et risquée possible, sur les modifications du climat et les technologies en matière de géoingénierie proposées », nous engage trop rapidement dans une mauvaise voie, et ce, sans prévoir aucune limite de vitesse.

La géoingénierie englobe diverses manipulations technologiques à grande échelle du climat et des systèmes connexes, réalisées au moyen de techniques comme l’injection d’aérosols à base de sulfates dans l’atmosphère, la fertilisation des océans et le blanchissement des nuages. Or à l’heure actuelle, la priorité ne devrait pas consister à déterminer les conditions dans lesquelles ces expérimentations devraient avoir lieu, mais plutôt à savoir si la communauté des nations et des peuples considère la géoingénierie comme une avenue acceptable sur les plans technique, juridique, social, environnemental et économique.

Pissing for Profit in the Pacific - Geo-engineers prepare to pollute Philippine Seas as International Ocean Dumping Body Meets

A joint news release prepared by: ETC Group, Third World Network, SEARICE, Corporate Watch and Greenpeace South East Asia

March 5, 2010

As governments meet in London today to discuss whether the high seas should be used for largescale iron dumping by companies promising a quick-fix for climate change, one private company is rushing ahead with a new ocean dumping scheme in Southeast Asia – this time with urea. Civil society groups have learned that Ocean Nourishment Corporation (ONC) of Sydney, Australia has been given a “go signal” by the Philippines government to experimentally dump hundreds of tonnes of industrially-produced urea, most likely into the Sulu Sea between Philippines and Borneo.

London Convention Puts Brakes on Ocean Geoengineering

Risky ocean fertilisation schemes “not justified,” require oversight and regulation, says international maritime body

In a shot across the bows of geoengineering companies, the London Convention (the International Maritime Organization body that oversees dumping of wastes at sea) today unanimously endorsed a scientific statement of concern on ocean fertilisation and declared its intention to develop international regulations to oversee the controversial activities. It further advised states that such large-scale schemes are “currently not justified.”

News Release: Top-down Planet Hackers Call for Bottom-up Governance

Geoengineers Bid to Establish Voluntary Testing Regime Must be Opposed

While most scientists left the Copenhagen Climate Summit feeling gloomy about their influence, a small group of geoengineering advocates came away emboldened by the summit’s weak outcome and uncertain road ahead. This group of scientists aims to get on with research and experimentation in controversial geoengineering technologies. Their real excitement is over “solar radiation management” (SRM). This is a way of “cooling down the planet’s thermostat” by reflecting a portion of the sun’s rays back to outer space, through a variety of techniques ranging from sunshades in space, to aerosol sulphates in the stratosphere, to whitening clouds. These high-risk, planet-altering schemes affect global warming without changing its cause which is excessive greenhouse gases in the atmosphere.

Los secuestradores del planeta desde arriba, llaman a una gobernanza desde abajo

Es necesario oponerse a los geoingenieros que buscan autoregularse

Si bien la mayoría de los científicos salieron de la cumbre de Copenhague sobre el clima sintiéndose frustrados, un pequeño grupo de defensores de la geoingeniería emergió gustoso por el débil resultado de la reunión y por la incertidumbre del rumbo a seguir. Estos científicos buscan proseguir con la investigación y la experimentación de las controvertidas tecnologías de geoingeniería. Están especialmente excitados por el “manejo de radiación solar” (SRM, por sus siglas en inglés), una forma de enfriar al planeta reflejando una parte de los rayos solares de vuelta hacia el espacio exterior, mediante una variedad de técnicas que van desde colocar pantallas en el espacio, a los aerosoles de sulfato o el blanqueamiento de nubes. Estos esquemas de alto riesgo de alteración planetaria inciden en el calentamiento global sin cambiar su origen, que es el exceso de gases de efecto invernadero en la atmósfera.

Les partisans de la géoingénierie préconisent l’expérimentation de technologies à haut risque

Des normes volontaires pour prendre la planète en otage

Si la plupart des scientifiques ont quitté la Conférence de Copenhague sur le climat plutôt déprimés quant à la force de leur influence, un petit groupe de défenseurs de la géoingénierie en sont sortis enhardis par l’absence de résultats et l’incertitude qui en découle face à l’avenir. Ce groupe de scientifiques souhaite procéder à des recherches et à des expérimentations sur des technologies de géoingénierie controversées, et la « gestion du rayonnement solaire » (GRS) suscite chez eux un réel enthousiasme. La GRS est un type d’intervention permettant de « faire baisser le thermostat de la planète » en réfléchissant une portion des rayons solaires dans l’espace, au moyen d’une variété de techniques allant du déploiement d’écrans parasols dans l’espace à l’injection d’aérosols à base de sulfates dans la stratosphère, en passant par le blanchissement des nuages. Ces interventions très risquées pouvant altérer la planète auraient pour effet d’influer sur le réchauffement climatique sans pour autant s’attaquer à sa cause, qui est la concentration excessive de gaz à effet de serre dans l’atmosphère.

Déclaration: Réfléchissons avant d'agir!

LA SOCIÉTÉ CIVILE APPELLE À UNE ÉVALUATION DES TECHNOLOGIES DANS LE CADRE DE TOUTE ENTENTE À COPENHAGUE

Le transfert de technologies constitue l’un des quatre principaux sujets qui seront discutés à Copenhague dans le cadre des négociations sur les actions de coopération à long terme (les trois autres étant l’atténuation, l’adaptation et le financement).  Le texte de négociation intergouvernemental qui fait l’objet de discussions envisage diverses mesures visant à accélérer la diffusion des technologies.

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